Halloween : sorcière et mini-jeux gentiment horrifiques en Google Doodle !

Un os, une pomme, une tête de mort et une potion : voilà les ingrédients d’une potion explosive qui vous attendra à chaque fois que vous vous rendrez sur la page d’accueil du moteur de recherche de Google aujourd’hui ! Le géant de l’internet a, une nouvelle fois, décidé de parer sa très célèbre page d’un Doodle célébrant la fête d’Halloween. Mais en lieu et place d’une traditionnelle citrouille, la firme de Redmond joue l’originalité et invite les internautes à concocter une étrange potion les amenant à une explosion, puis à une série de mini-jeux interactifs. Halloween (contraction de All Hallows Eve, signifiant, en anglais contemporain, The Eve of all Saints) est une fête qui a lieu tous les 31 octobre. Elle est traditionnellement célébrée dans les pays de culture anglo-saxonne, et, effet de mondialisation ou simple goût du déguisements de la fête, elle s’est progressivement étendue à d’autres pays dont la France. Jack, entre vivants et morts Le symbole d’Halloween est une citrouille éclairée d’une bougie. Dans les foyers éclairés de la sorte, les enfants, déguisés en monstres et autres fantômes frappent à la porte et lancent une formule devenue célèbre : « des bonbons ou un sort ! » (on peut également accepter « on mange ou on se venge ! »). Si l’occupant du lieu ne donne pas de friandises, il s’expose donc à de très sévères représailles de la part des petits trolls et farfadets ! Cette petite scénette, gentiment horrifique, est en fait une représentation édulcorée d’un conte, mettant en scène Jack O’Lantern, passant devant les maisons, accompagné de mauvais esprits vengeurs, et condamné à errer pour l’Éternité entre le monde des morts et des vivants. Et c’est aujourd’hui, 31 octobre, qu’une brèche entre les deux mondes s’opèrent, que les deux mondes se côtoient…Pour le meilleur et pour « de rire » ! Une fois la brèche « dimensionnelle » fermée, les mondes reprennent leurs places respectives, le jour suivant s’ouvrant sur la Toussaint, qui elle-même s’ouvre sur une autre fête : celle de tous les morts. De quoi faire perdre la tête aux vivants, non ?